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Brownie à la patate douce sans gluten ni lactose

Fabrice Vivier • mars 03, 2024

Gourmandise idéale pour les sportifs avant une compétition

Voici la recette que je conseille très souvent au sportifs que j'accompagne à consommer la veille ou le matin d'une compétition sportive énergivore.


Principalement composée de Chocolat Noir, de Beurre de Cacahuète et de Patate Douce, voici les bienfaits de ces trois ingrédients pour les sportifs.


1. Chocolat Noir : L'Énergie Antioxydante

Le chocolat noir est une source de plaisir pour de nombreuses personnes, mais il offre également des avantages nutritionnels considérables pour les sportifs.

Tout d'abord, le chocolat noir est riche en antioxydants, tels que les flavonoïdes, qui aident à neutraliser les radicaux libres produits pendant l'exercice. Ces radicaux libres peuvent endommager les cellules et les tissus, ce qui peut entraîner une inflammation et une récupération plus lente.


De plus, le chocolat noir contient également de la caféine, qui peut augmenter la vigilance et améliorer la performance mentale pendant l'exercice. La caféine stimule également la libération d'adrénaline, ce qui peut augmenter la puissance musculaire et l'endurance. Cependant, il est essentiel de ne pas en abuser, car une trop grande quantité de caféine peut provoquer des effets indésirables tels que la nervosité ou l'insomnie.


Le chocolat noir est également une source de magnésium, un minéral essentiel pour la contraction musculaire et la fonction cardiaque. Il peut donc aider à prévenir les crampes musculaires pendant l'exercice.


2. Beurre de Cacahuète : Le Combustible des Muscles

Le beurre de cacahuète est une source de graisses saines, de protéines et de glucides, ce qui en fait un aliment polyvalent pour les sportifs. Les graisses saines présentes dans le beurre de cacahuète, telles que les acides gras monoinsaturés, peuvent fournir une source d'énergie durable pour les entraînements ou les compétitions de longue durée.


De plus, le beurre de cacahuète est riche en protéines, ce qui favorise la récupération musculaire après l'exercice en aidant à réparer les tissus musculaires endommagés. Les acides aminés présents dans les protéines du beurre de cacahuète, comme la leucine, sont particulièrement importants pour la synthèse des protéines musculaires.


Les glucides contenus dans le beurre de cacahuète sont principalement sous forme de fibres et de sucres naturels. Cela signifie que le beurre de cacahuète peut aider à maintenir un niveau d'énergie stable pendant l'effort sans provoquer de pic de glycémie suivi d'une chute brutale.


3. Patate Douce : Le Carburant Complex

Les patates douces sont une excellente source de glucides complexes, de vitamines et de minéraux essentiels pour les sportifs. Les glucides complexes sont une source d'énergie durable, ce qui en fait un choix judicieux pour les activités physiques de longue durée.

Les patates douces sont riches en vitamines, notamment la vitamine A (sous forme de bêta-carotène), la vitamine C et la vitamine B6. Ces vitamines sont essentielles pour le fonctionnement optimal du système immunitaire, la réparation des tissus et la conversion des aliments en énergie.


De plus, les patates douces sont une source de potassium, un minéral essentiel pour l'équilibre hydrique et la contraction musculaire. Pendant l'exercice, une perte de potassium peut entraîner des crampes musculaires et une fatigue accrue, ce qui fait des patates douces un excellent choix pour les sportifs souhaitant maintenir leur performance.


Bon maintenant au fourneau, pour réaliser cette recette très facile et rapide...


Liste des ingrédients


Après avoir épluché et cuit les patates douces on met l'ensemble des ingrédients au robot afin d'obtenir une pate dense que l'on dépose dans un petit moule.

On préchauffe le four à 180° puis on enfourne durant 20 mns, ou on le cuit au vitaliseur durant 40 mns

On y ajoute si on le souhaite le topping sur le dessus et on réserve au frais 30 mns.

Il n'y a plus qu'à le savourer...


Fabrice VIVIER, Naturopathe certifié

Coach sportif et nutritionnel 

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La bigoréxie: définition Désormais reconnue depuis 2011 par l’OMS (Organisation mondiale de la santé), la bigorexie résume l’addiction au sport dont souffrent certains athlètes professionnels et amateurs. Plutôt facile de la déceler, elle est beaucoup plus compliquée à traiter. C’est un sujet très sérieux désormais abordé dans tous les centres de formation d’éducateurs sportifs. Cette dépendance au sport prend des dénominations diverses : dépendance ou addiction à l’effort, bigorexie, sportoolisme , dépendance à l’activité physique. Elle entre dans la famille des "addictions sans substance". Une dépendance ...au sport Les individus souffrant de dépendance à l'effort font état de souffrances quasi identiques à une addiction « classique » : apparition d'état dépressif en cas de sevrage, comportements " jusqu'au-boutiste" occasionnant des blessures graves voire irréversibles, souffrances sociales et familiales avec le délaissement de la vie familiale et professionnelle pouvant entraîner divorces, pertes d'emploi, rétrécissement du cercle des amis. Comme les autres formes de dépendance (alcool, tabac, anti-douleurs), la bigorexie est désormais prise en compte et soignée par la médecine allopathique, mais aussi par la naturopathie (en action préventive). Il est désormais acquis que certaines disciplines, et le running vient en première position de celles-ci, favorise la sécrétion d’endorphines, cette molécule naturelle qui déclenche ce que les Américains nomment ‘ le runner high ’, ou l’ivresse du coureur. Cette dépendance s’attaque au psychique. « L’activité sportive peut finir par occuper une place disproportionnée dans l’identité de la personne et générer des conflits entre le sport en question et d’autres aspects de la vie », notaient en 2008 des chercheurs en psychologie du sport. Comment identifier les facteurs de risques de la Bigoréxie Quelques pistes éventuellement observables: Une pratique en constante augmentation avec empiétement sur la vie personnelle et/ou professionnelle Le sentiment de ne pouvoir arrêter le sport. L'apparition de signes de sevrage (détresse, symptômes dépressifs…) en cas d'arrêt brutal de la pratique. La ritualisation et la répétition obsessionnelle des gestes. Un comportement obsessionnel lié à sa condition physique, son poids ou ses performances. Un changement complet du mode de vie Des prises de risques inconsidérées ou la volonté de toujours repousser ses limites comme pour « effacer » des émotions désagréables non liées au sport L’addiction amène les sportifs à repousser toujours plus loin les limites physique et psychologique) et peut générer des blessures graves, voir un arrêt obligatoire de la pratique. Certains sportifs poursuivent la pratique sportive même en cas de blessure grave , ou ont recours au dopage pour pouvoir pratiquer. Il s'agirait des sportifs qui cherchent à valoriser leur image à travers le sport, en quête d'une meilleure estime de soi, pour modifier leur apparence corporelle ou pour combler un vide affectif. On retrouverait aussi des personnes souvent rigides, perfectionnistes. Certaines disciplines sportives augmentent le risque d’addiction, notamment celles qui développent une image corporelle (ex. gymnastique, bodybuilding, danse, natation synchronisée), les sports à contrôle de poids (lutte, judo), les sports d’endurance, les sports où l’entraînement est très stéréotypé (vélo, course à pied, culturisme). La dimension psychologique de cette dépendance est essentielle, et elle est bien plus importante que sa dimension biochimique. L’accompagnement du sportif prend toute son importance dans ce type de pathologie. Il faut savoir que cette forme de dépendance au sport, concerne les sportifs pro mais aussi les sportifs amateurs. Le sport apportant des bienfaits indiscutables sur la santé et le bien-être, il apparaît pour beaucoup comme un élément majeur de l’équilibre de vie. La bigorexie est une pathologie encore peu connue en France. Elle est donc souvent sous-estimée par les sportifs et les entraîneurs... Se dépasser, dépasser ses limites, sortir de sa zone de confort, s'entraîner toujours plus, sont des facteurs de performance pour atteindre le haut niveau. La frontière entre le normal et le pathologique est ténue. Tout est une question de dosage. Surmonter la bigoréxie : stratégies et conseils Heureusement, il est possible de surmonter la bigoréxie avec le bon soutien et les bonnes ressources. En tant que coach sportif, il est important d'adopter une approche holistique pour aider mos clients à retrouver un rapport sain avec leur corps et leur entraînement. Voici quelques stratégies et conseils utiles : Encourager une approche équilibrée de l'exercice physique : Aidez mes clients à trouver un équilibre entre l'entraînement et la récupération, en mettant l'accent sur l'importance du repos et de la récupération pour optimiser les résultats. Promouvoir une alimentation équilibrée : Éduquez mes clients sur l'importance d'une alimentation variée et équilibrée pour soutenir leur santé physique et mentale, plutôt que de se concentrer uniquement sur les calories et les macronutriments. Travailler sur l'estime de soi : Encouragez mes clients à développer une estime de soi basée sur des aspects autres que leur apparence physique, comme leurs compétences, leurs valeurs et leurs relations interpersonnelles. Soutenir le travail sur l'image corporelle : Aidez mes clients à remettre en question les normes de beauté irréalistes et à adopter une vision plus réaliste et bienveillante de leur propre corps. Fabrice VIVIER, Coach sportif & Athlète international 
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